Nord-Ouest
loin

C'est beaucoup trop loin ...

mardi 06-sept-66, 07:10
L'aube étant arrivée, Inigo va pouvoir aller se reposer, mais cela n'empêchait pas de continuer la surveillance.
« Yé vous laisse lé soin de choisir ceux qui nous remplacerons »dit Inigo à Dafnir
« C'est à notre tour de nous réposer maintenant.... J'espère que les soldats vont bientôt arriver.... »

« Les chariots pour nous ne pourront pas arriver avant le début de soirée. » remarque Dafnís.
« Les renforts armés les précèderont peut-être un peu, mais pas de beaucoup ... »

« Tout le monde est caché ...
Tant qu'on reste perchés, je pense qu'on ne craint pas grand chose ....
Alodia nous a même prévu un panier » dit-il en montrant l'objet au pied de l'arbre.
« Repose-toi, je dormirais un peu plus tard »

« Yé né pas ta constitution ahahah, yé vais donc en profiter et dormir quelques heures »
Inigo s'installe le plus confortablement possible dans l'arbre et s'endort du sommeil du juste

mardi 06-sept-1466, 13:00

Dafnís réveille Inigo pour le pic-nic

l'arbre biscornu n'était pas si inconfortable que ça au final, bien au contraire. Et puis il était tellement fatigué d'avoir si peu dormi ces deux dernières nuits que le moindre repos qui lui était apporté l'emmener directement au pays des songes sans aucune difficulté.
S'étirant longuement des oreilles jusqu'aux orteils, Inigo remercia Dafnis
« Yawwwwnnnn, merci mon ami, cé répos m'a fait du bien..... »

Ils descendirent ensuite tous deux pour aller manger avec tous les autres, prenant des nouvelles de tout le monde
« Tout c'est bien passé, vous savez bien dormi ? »

Contrairement à ce que pensait Inigo, le pic-nic se déroule en tandem.
Les autres sont cachés, déjeunent probablement dans leur coin.
Il n'a donc que Dafnís pour discuter.
Les nouvelles sont rares : Dafnís a veillé et surveillé. Il n'a vu personne à part la vieille Alodia.
Et elle n'a rien dit.

Inigo n'a rien de spécial à faire non plus, hormis surveiller et attendre les soldats du Ser

mercredi 07-sept-1466, 09:10

Chevaux, chariots, ....
Le convoi est imposant et manque de discrétion
Mais, enfin, les renforts arrivent...

Le capitaine du convoi se présente à l'herboriste.
Les hommes démontent.
Le bivouac sera monté ici.
Il faut aller chercher les réfugiés, mais seule le vieille herboriste sait où elle a caché les uns et les autres...
Mais pour l'instant elle inspecte les chariots.

Inigo alla se présenter au Capitaine, non sans noter le comportement de la vieille
Mais que fait-elle ? pourquoi ne vat-elle pas chercher les autres ?
« Hola, yé souis Inigo, et vous êtes....hum....lé capitaine, c'est bien ça ? » demanda Inigo à ce qui lui semblait être le capitaine.

De quoi peut bien parler cette vieille folle, Inigo était le seul à avoir communiqué avec Porfiros, comment pouvait-elle attendre quelque chose ?
Il attendait que le Capitaine lui réponde, mais se montra soudain très méfiant.

« Si c'est moi....
Tout cé que yé sais yé l'ai écris au Ser Oreste...
Yé trouvais les brigandos à la tour de guet, il y avait 25 chevaux, ma yé pense qu'il y avait aussi ceux des gardes toués. D'après les différents témoignages ils né séraient qu'une douzaine.
Lé problème cé qu'ils ont apparemment bougé, nous avons entendu des cavaliers au loin la nouit dernière...il y a ouna journée dé ça. »dit-il en lui montrant du doigt la direction du Nord-Ouest de l'autre côté du fleuve.
« Leur chef est intelligent, même si yé réussi à l'entourlouper, cé qui m'a valu de resté en vie.
Ils ont una mapa très détaillée dé la région, avec les sentiers notés dessus. Et ils sé déplacent la nouit.
ah et puis si ouna dernière chose, ils font passer des choses par la frontière par le fleuve, mais yé né pas su cé qué c'était, c'était enfermé dans gros tonneaux dé bois. »