« C'est derrière ces caisses ci, y-a comme une porte... »
Le forestier entreprend de libérer l'accès en BD14

S'approchant de la porte dégagée par Ricardo, l'éclaireur essaya d'ouvrir la porte.

Bien évidemment ... la porte est fermée à clef ...
Et la serrure alambiquée promet un joyeux exercice de crochetage pour un cambrioleur confirmé ...


Gotorget

Passant devant la porte - visiblement fermée - Joaquin haussa les épaules. Il était un peu voleur, certes, par nécessité plus que par goût ... Mais, jamais cambrioleur. S'infiltrer en douce chez de pauvres citoyens endormis l'avait toujours rebuté. Pourtant, en cet instant, il regrettait de ne pas avoir appris les rudiments du métier.

Il préféra rejoindre Aradine qui avait apparemment trouvé une porte de sortie.


Encore une fois, Joaquin essaya de se souvenir de cet endroit. Bon sang, d'où se rappelait il cette foutue porte.

Gotorget
Cette double porte, massive et ordinaire, dispose d'une serrure d'apparence très banale bien qu'imposante.

... >>> ...

Dégainant sa rapière, Joaquin tenta d'ouvrir la porte, priant intérieurement pour que les défenseurs de Gotorget soit effectivement aussi bourrés que Ricardo le promettait.

Va falloir trouver le moyen de basculer le loquet qui la ferme de l'autre côté ....

Le soldat ne se sens pas l'âme d'un cambrioleur et ils ne vont pas passer trois jours devant une porte fermée.
Il sort donc une de ses hachettes bien affutée et essaye d'attaquer la serrure soit en lui tapant dessus en se servant de l'arrière comme d'un marteau.
soit en attaquant le bois avec le tranchant.
Soit en conjuguant les techniques ou en utilisant de quoi faire levier...
Bref, Stéfano s'attaque sérieusement au problème

Un vrai massacre sur ce bijou de ferronnerie !
Mais la serrure cède ....

« C'est ouvert ici.
J'ouvre, Ricardo tu me couvre avec ta petite artiraille. »
Ta-dam : qu'est ce qu'il y a derrière cette porte...

Une pièce, basse de plafond, totalement aveugle, pleine de coffres bombés et renforcés.
Gotorget

« ça ressemble à une salle de trésor » constate le soldat en avançant (BD15) pour voir s'il est possible d'ouvrir un coffre.

Sortant l'une de ses dagues, Joaquin en glissa la lame étroite entre les battants de la porte et tenta de soulever le loquet qui la fermait de l'autre côté.