Stéfano soulève le couvercle d'un coffre ....
coffre 14 en BD 16
pendant que Joaquin soulève délicatement le loquet de la double porte

Le Soldat pensait tomber sur quelques richesses mais tant d'or le laissa un instant sans voix...
c'est la réflexion du forestier dans son dos qui le ramena à la réalité.
« Crénon vin di diou !
On a plus qu'a s'ervir et rentrer à la maison ! »

De son côté, Joaquin ...

. Perception .

Stéfano se retourna pour contempler Ricardo.
Ni l'un ni l'autre n'avait jamais vu autant d'or...
Repartir sans remplir la mission mais riche et en vie... cela semblait évidement facile et quelque part raisonnable.
« Si nous n'ouvrons pas les portes à l'armée de Chalion, les Roknaris resteront maitre de cette citadelle et nous ne dormirons plus jamais en paix.
Je vous propose de trouver un tonneau vide et de le remplir de ces richesses au cas où.
Mais nous devons ouvrir ces portes. »

Le forestier grogna de désapprobation le temps de peser ce que venait de dire le représentant de l'armée;
Ricardo bien que bas de plafond, comprenait que s'il voulait partir avec de l'or et vivre en paix, il faudrait que le soldat ne survive pas et il était trop lâche pour lui régler son compte.
Il se résolut à répondre :
« On fait comme tu dis. »
avant de se mettre à la recherche d'un sac de jute ou d'un tonnelet vide.

Ne trouvant pas de caisse vide, le forestier qui n'avait pas l'intention de laisser passer sa chance, déroula sa couverture pour en faire un ballot qu'il rempli avant de le glisser derrière des caisses dans la grande salle.

Le soldat glisse quelques pierreries dans sa poche une fois le forestier parti et rejoint Joaquin en BK14

Ayant rejoint Joaquin, Stéfano écouta ce qui semblait arrêter le vétérant.

Le Forestier cache le ballot qu'il a rempli d'or et de pierreries derrière les caisses enBG12, referme la porte de la salle du trésor, remet les tonneaux et rejoint ses comparses en BK13

« Il y a du monde dernière. »informat le soldat.
« On fonce avec la surprise où on tente de les attirer ici ? »

« Ok, on les attire ici mais comment ? »
Le soldat réfléchi à haute voix :
« On éteint les torches ou on trouve un moyen de les couvrir.
On pourrait mettre un tas d'or tombé au sol et faire tomber une caisse pour faire du bruit... »
Stéfano se tut et interrogea les autres du regard.