« C'est une alcôve par ici ? »

« De ce coté il y a du vide et un chemin abrupte qui descend. »
Le soldat avait gardé en main droite la torche et en main gauche sa hachette.


Félipé toujours sur ses gardes avance en AJ10

Ricardo sort son épée longue et prend la torche dans sa main gauche.
« Attends moi dont, j'vais j'ter un oeil s'il ya des trâces dans c'te coin. »

Oui, AL 15, c'est possible.
Dans ce recoin, les anfractuosités sont naturelles, aucune trace de pioche ni d'autre outil ...

Stéfano trouve les ronflements plus caverneux de ce côté-ci.

Félipé pense avoir trouvé le juste milieu entre les 2 porteurs de torches

Avant que Ricardo ne rompe ce bel équilibre en se rapprochant du bord ...

De là, Ricardo distingue en contrebas, un autre passage qui,
après quelques marches dont il ne distingue pas l'origine,
descend sous le plateau où se tient le groupe.

« c'est pas une bonne idée de se séparer, il y a une bête qui ronfle là en bas et on est là pour les Barbares Roknaris pas pour les ours.
Vous avez un chemin qui monte, faudrait voir où ça va...  »
Le soldat va en AM13

En s'approchant, le soldat compris qu'il avait mal compris : tous les chemins descendent.

« Bon et bien ça se passe en bas avec les ronflements...
En bons guerrier, je propose que les archer sortent leurs arc et que l'on jette une torche avant de de se jeter dans la gueule de l'ours.  »

...

Stéfano lâche sa torche au plus près de l'entrée du premier passage repéré par Ricardo Ricardo voit la lueur de cette torche poindre du passage sous ses pieds Félipé garde un œil sur l'autre accès à votre plateau Aradine, de sa position, voit la lueur de la torche de Stéphano sur les marches de l'autre escalier

Je ne pensais pas du tout à ça : On se mettait sur la corniche en AD et la torche c'était AC9...

Bref, reprenons :

Le soldat sorti une autre torche et vient l'allumer auprès de Ricardo.

« Tu passes devant Félipé ?
Ces saletés de loup m'ont bien esquintés. »

Aller au combat est le propre du soldat mais bon Félipé référait comme tout le monde savoir où il mettait les pieds...
C'est sans enthousiasme qu'il se dirigea silencieusement vers l'escalier éclairé par la torche que venait de lâcher Stéfano.
Il attaque la descente (en AN14 si j'ai bien compris)

Laissant les autres explorer cette nouvelle salle - après tout c'étaient des soldats et des éclaireurs, non? - Joaquin sortit sa rapière et écouta les rapports d'observation des uns et des autres. Il en profita pour évaluer la taille de la salle et sa configuration.

Bon OK... C'est un labyrinthe...

Joaquin décida de se couler le plus discrètement possible vers la torche que Stéfano venait de balancer dans l'escalier. Au moins il pourrait récupérer le brandon et s'en servir pour éclairer son chemin.


La cape grise et déchiquetée de Joaquin s'accordait à merveille avec la paroi et le vétéran se fondit le long de la paroi de l'escalier. Attrapant la torche, il essaya en la maintenant prés du sol, le long de la paroi, d'éclairer le reste des marches d'une lumière moins agressive que s'il avait tenu la torche bien haut. Pas la peine d'alerter ce qu'il pourrait y avoir en bas en l'éclairant trop vivement.

Stéfano a lancé sa torche « au bas des marches » de l'escalier « en contrebas » de sa position.
Pour prendre cette torche, Joaquin devrait trouver le moyen de descendre de 4 à 5 m ...
ou de trouver le moyen de « pêcher » la torche qui éclaire donc
le sol du souterrain qui se trouve sous le plateau où vous vous tenez ...