Brand ouvra la voie en s'enfonçant dans la jungle, n'hésitant pas à se servir de son épée pour couper les lianes et buissons se trouvant sur leur chemin. Habitué à progresser en terrain difficile, il était cependant moins habitué à cette chaleur et humidité ambiante. Il remarque malgré tout quelque grosses lianes et s'arrêta en disant au reste du groupe :

« Établissons notre camp ici avant que la nuit ne tombe. Coupez ces lianes et pressez les, elles sont gorgées d'eau, remplissez le maximum de récipients à votre disposition, nous en aurons besoin. »

Puis voyant que Roza et Sheni souhaitaient elles aussi participer à la recherche de nourriture, il dit à Roza pour répondre à ses questions :

« Je ne suis aucunement un chasseur légendaire comme le racontent les légendes, mais je chasse toute sorte d'animaux. Suivez nous si vous le souhaitez. Je propose que nous suivions ses traces pendant quelque centaines de mètres afin de nous assurer que les personnes à qui appartiennent ces traces ne soient pas un danger immédiat pour nous cette nuit, puis nous chercherons des buissons de baies, des champignons et pourquoi pas des traces d'animaux que nous pourrions chasser pour nous nourrir. »

Brand assura sa prise sur son épée et commença à suivre les traces de pas, cherchant en même temps de la nourriture.

Sheni se sent obligé d'ajouter pour Roza, alors que les trois poursuivent au-delà de l'emplacement choisi pour camper : « On va chasser et chercher à qui sont ces traces. Les flèches dans le dos des marins leur appartiennent sans doute. Faut que tu la boucles, sinon le gibier va s'enfuir avant qu'on le voit et les prochaines flèches seront pour nous. »

19 sur le jet de survie.
perception: Laadna lance 1d20+3 et obtient 19 (16)
discrétion: Laadna lance 1d20 et obtient 6 (6)

Après plusieurs essais infructueux, Brand s'aperçoit que certaines lianes peuvent contenir de l'eau en les saignant. Certaines plantes à feuilles concaves peuvent également contenir de l'eau en leur sein, Brand prend alors soin de récupérer l'eau la plus claire possible.
Les traces de pas disparaissent assez vite dans la jungle, celle-ci étant trop dense et humide pour repérer quoique ce soit. Cependant et peut-être heureusement dû au fait de s'être enfoncé plus en profondeur, Sheni et Brand remarquent un petit sentier transversal formé par de nombreux passages répétés. Une partie s'enfonce encore plus dans la jungle, tandis que l'autre bout rejoint certainement la mer vu sa direction ( mais pas au même endroit dont vous venez donc).
Vous n'êtes pas trop de deux pour attirer l'attention d'un énorme serpent enroulé sur une branche d'arbres et lui trancher la tête d'un coup net. Vous trouvez également des arbres où quelques fruits oblongs de couleur rouge attirent votre attention, certainement des fruits.

Un sourire divise le visage de Roza alors qu'elle se penche vers Brand pour lui chuchoter : « Tu n'es pas encore un chasseur légendaire. Mais si tu nous tues un lézard géant ou un chat mythique de la jungle, donnez-nous les meilleures viandes et réchauffez-nous avec une peau pour dormir, j'écrirai une chanson qui sera chantée dans de nombreuses auberges, de telle sorte que les voix d'innombrables des troubadours affamés élèveront ton âme vers les étoiles quand tu mourras. »

Avec les yeux écartés, Roza marche dans la jungle comme un chat portant un cloche.

Sheni transpire beaucoup et l'environnement inconnu ne la détend pas le moins du monde. Les bruits inquiétants et stridents, les odeurs lourdes, la sensation d'humidité permanente, tout lui est insupportable. Et cette voix qui ne s'arrête jamais...

Le serpent gigantesque a été de trop. A peine le corps retombé, elle se retourne vers Roza, plante le manche de sa vouge dans le sol et explose.

« Tu vas la fermer ta gueule ? T'as vraiment envie qu'on se prenne une embuscade ou qu'on rentre de chasse avec juste une poignée de fruits probablement toxiques à bouffer ? T'as voulu nous accompagner, alors boucle-la et rends-toi utile ! »

Sans attendre de réponse, elle récupère son arme, lance à Brand un regard exaspéré et tourne sur le chemin découvert, dos à la mer. Elle ajoute, en agitant la main, « ou rentre au camp et continue de servir à rien, ce sera toujours mieux que de nous mettre en danger. »

Roza incline la tête d'un air interrogateur, souriant constamment.

« Et voila, c'est toi qui fais un putain de bruit. Ô comme le tonnerre du ciel lui-même, ta voix mugit et fait un bordel de la chasse. »

Soudain, le visage de Roza s'illumine d'horreur. Elle montre du doigt derrière l'épaule de Sheni et siffle : « Attention ! On a attiré l'attention d'un serpent monstrueux ! »

Pendant que les autres exploraient les alentours, Egile consacra la poignée d'heures de lumière diurne qui leur restait à établir un campement fonctionnel.

Survie 17

Même si ce milieu moite, gorgé d'insectes, de bêtes sauvages et de verdure ne lui plaisait guère, il devrait bien s'en contenter. Dans tous les cas, il n'avait pas vraiment son mot à dire...

Il commença par repérer une butte de terre ou un relief surélevé avant de commencer son travail de débroussaillage et d'arrachage de végétaux. Moins de plantes mortes grouillantes d'insectes équivaudrait à moins de morsures et de piqûres pendant le nuit...

Il partit, par la suite, à la recherche de matériaux végétaux nécessaires à la construction de leur futur abri: grandes feuilles de palmiers, tiges de bambous, branches et lianes. De quoi tapisser le sol humide de cette jungle et de quoi amorcer la construction de leur abri.


Et il s'attaqua finalement à l'assemblage, au tressage et à l’emboîtage de tout ceci.

Une structure plus ou moins respectable, un toît de feuillages tenant la route... Le résultat n'était peut-être pas très beau à voir, et aurait fait bondir toute sentinelle forestière qui se respecte... mais cela devrait suffire pour une soirée ou deux passées dans cet océan verdoyant.

Le feu, quant à lui, ne devrait pas être trop difficile à démarrer. Quelques grosses pierres, du petit bois et de quoi l'alimenter tout au long de la nuit.
Un peu d'huile de coude et quelques coups de pouce de mère nature, et le tour devrait être joué.

Ignorant ses deux camarades qui gueulaient gentiment, Brand garda néanmoins un œil sur les alentours afin de s’assurer que leur bruit n’avait pas attiré de bête un peu trop grosse.

Pas né de la dernière pluie, il ramassa le serpent, et rassembla des lianes gorgées d’eau qu’il mis sous son bras.

« Dépecé et bien cuit, ça nous fera de la viande. »

Puis il ramassa quelque baies en essayant de chercher dans sa mémoire et évaluer si celles-ci étaient comestibles, et tourna les talons en direction du camp.

« Nous devrions revenir ici demain et progresser dans la jungle par ce chemin que nous avons croisé. La progression sera plus facile. »

Sheni se retourne en sursaut. Rien. Elle soupire et secoue la tête. Cale son arme sur l'épaule et envoie de sa main libre un geste aussi grossier qu'univoque à l'adresse de Roza, sans se retourner. En partant le long de la piste, elle lance à Brand : « je vais voir un peu plus loin par là, des fois que... ». Elle détache l'un de ses javelots et le plante au sol en guise de point de repère.

Nous serons des amis quand les poules pisseront.

Roza soupire, hausse les épaules à Brand, et demande : « Qui a été mordu par un serpent fuit devant un ver de terre. Ce serpent-là, on peut vraiment le manger ? » Ses yeux s'écarquillent à leur taille maximale.

Tandis que Sheni s'éloigne un peu plus sur le sentier, Roza et Brand retourne au camp improvisé les bras chargé d'un gros serpent de la taille d'un homme et de fruits rouges à la chair juteuse.
Pendant ce temps Adam et Egile ont commencé à préparer un couchage pour chacun, et faire un feu. Ils ne seront pas trop de quatre pour finir. Une bonne heure plus tard, alors que le soleil semble éclairer la jungle de ses derniers rayons de soleil, tout est fin prêt, couchage et serpent dépecé et cuit. Le repas est frugal mais la chair du serpent est bonne et vos estomacs sont bien remplis. La nuit a fini par tomber, et Sheni n'est toujours pas rentrée.

De petites moustaches s'activaient frénétiquement dans sa main, explorant le moindre coin et recoin susceptible de contenir quelques miettes de viande oubliées après l'une de ses petites bouchées.

Un sourire aux lèvres, Egile contempla pendant quelques instants le petit être bientôt repu avant de prendre la parole.

« Sheni n'est donc pas revenue ? »
« La nature peut se montrer cruelle envers ceux qui s'y perdent... »

« J'espère qu'elle retrouvera son chemin, naviguer dans cette obscurité n'apporte jamais rien de bon. »

Alors qu'Égile pose des questions sur Shenni, Roza pèse son javelot dans sa main.

Avait-elle besoin de ça pour retrouver son chemin?

Roza pose sa main sur sa corne, souriant tandis qu'elle fredonne une courte mélodie.

Un bruit dans le brouillard au bord du notre site fait sursauter Roza. Elle lance le javelot dans cette direction, éclairant la zone.

« Je veillerai sur vous en premier, tout le monde. Je me sens assez alerte. S'il vous plaît, reposez-vous un peu, et le matin nous continuerons notre histoire ensemble. »

Egile posa sa minuscule compagne au sol, et remercia Roza avec un léger hochement de sa tête.

« Un peu de repos ne nous fera pas de mal après ce rude... accostage. Je prendrai la relève de minuit. »

Tout en caressant la tête de son amie rongeur, Egile commença à former quelques signes dans l'air avec sa main libre. Il finit par poser sa main au sol, tout en psalmodiant quelques incantations.

(en elfe) « Nda i a caren, aldohonyasë meauma yar anttaliny.
Lamenyárealú ine passírinë i ca alúnanan má ta er ine e i sssëa htalyë. »

Il tapa ensuite deux fois le sol avec la pointe de son index pour attirer l'attention du petit mammifère.

(en souris) « I pade. Geredetart anerfetar mmi Sess Mpul Mumuol cet'oreoponerud tideronoven. »
(en souris) « Amu invid os emu armeglu armeglu laergn ar hecorginil panta. Cutatiss amu mmbuam pstiban oniblibuosunt emu amili pacranelc ginosul. »
(en souris) « Stupe isuativ os armeglu ar ceg geturitet ophinent ? Amem la'tintibraerae invid vet om e'i i emu armeglu, onodit obusit emu ontineg anerfetar la'rtegeno luset gite mmematadin vet gite costiguerfeme. »
(en souris) « Pu veratat, qum emu pont'mantido luset e veuan aetiec. Spsteosu mio amu quarnt. »

Le moine traça quelques signes sur le petit crâne du rongeur avant d'incanter un nouveau sort.
« Esprits du vent, guidez le flair de ce petit être et affûtez ses sens. »


Ceci fait, il déroula le matelas usé qu'il avait déniché sur l'épave de leur bateau et tira sa mince couverture sur lui...

En rentrant au camp, Brand lâcha lourdement le serpent sur le sol. Il déposa les baies qu’il avait ramassé ainsi que les récipients d’eau près de leur couchage. Puis il répondit à Egile en commençant à dépecer le serpent.

« Elle est partie chercher un peu plus loin. Elle semble débrouillarde, et je ne pourrais pas veiller sur chacun d’entre vous. Nous devrons nous remettre en route à l’aube, nous ne pouvons pas nous permettre d’attendre une journée immobile. »

Puis alors qu’il terminait de séparer les chairs comestibles du reste pour les cuire sur un feu sommaire qu’il commençait à préparer, il ajouta :

« On a trouvé un chemin, il nous conduira plus facilement à travers la jungle. Nous devrons toutefois rester discret et rester sur nos gardes, nous ne savons pas à combien de personnes appartenaient les traces sur la plage. »

Il apprécia ensuite le tour du prestidigitateur avec sa souris, n’ayant pas l’occasion de voir de la magie très souvent. Puis il répondit a Roza :

« J’apprécie ta sollicitude. Nous devons néanmoins mettre en place des quarts, nous devons tous être frais et alertes demain matins. Ravi que tu prenne le premier ! Je te remplacerais dans deux heures. »

Puis il commença à manger et se coucha immédiatement après, s’endormant très rapidement d’un sommeil léger, habituel aux militaires et vagabonds.

Peu habitués à dormir dans un lieu aussi différent de ce que vous avez pu connaître et dans l'angoisse d'être à tout moment attaqué par celui ou ceux qui ont tué certains marins, la nuit est tout à la fois longue, et courte. Courte car dès les premières lueurs du matin vous êtes réveillés, et chacun d'entre vous n'aura que 6 heures au final. Et longue car les 2 heures de gardes dans un environnement inconnu et hostile a bien entamé vos corps et esprit. Malgré tout vous êtes tous relativement habitués à une vie en extérieur, et même si la nuit n'a pas été de tout repos, vous avez tout de même réussi à dormir un peu.
Aux premières lueurs du jour donc, tout le monde se réveille les traits tirés, le corps et les vêtements légèrement humides, mais en vie.
Le feu a pu être maintenu (je suis généreux ^^), et il reste du repas de la veille.
Toujours aucun trace de Sheni.

je suppose que vous vous avancez sur le sentier, je continue donc dans ce sens, mais si vous souhaitiez faire une petite activité avant de partir, vous pouvez le noter dans votre post, aucun souci

La lumière matinale est tout aussi étrange que la veille. La lumière diffuse du soleil couchant associée à la lune rouge avait donné un relief tout particulier à la côté sur laquelle vous avez échoué, et l'ambiance ce matin est spectrale, comme s'il y avait une couche supplémentaire à la brume permanente qui rase le sol. Peut-être que cet effet visuel disparaîtra lorsque le soleil sera plus au haut dans le ciel.
Maintenant que vous avez rejoint le sentier, la marche se fait plus aisée, et il est moins nécessaire de couper les branches pour se frayer un chemin.

Je souhaiterais que dans votre post suivant, vous m'indiquiez clairement la position/comportement que vous adoptez durant votre marche, ensuite je poursuivrais, merci ^^

Brand se coucha donc et dormi pendant deux heures. Son passé de militaire ayant été rythmé par les réveils à heures précises, il se réveilla exactement après deux heures de sommeils pour prendre son quart. Les autres semblaient plus ou moins endormis, et il s’approcha de Roza en lui disant :

« Tu peux aller dormir, je prend le quart suivant. »

Puis il s’assit légèrement à l'écart du feu, à la bordure du campement, dans un bosquet de lianes, pour ne pas être vu et pris pour cible immédiatement dans le cas d’une attaque. Il passa deux heures à tailler un morceau de bois de manière à passer le temps, puis alla ensuite réveiller Egile pour sa garde. Il se recoucha et dormi jusqu’au petit matin.

Après un sommaire petit déjeuner fait de restes de baies et d’eau, il aida ses compagnons à ranger le campement, emporter ce qui était emportable, puis ouvrir le chemin jusqu’au petit sentier.

« Soyez sur vos gardes, nous allons suivre le sentier qui s’enfonce dans la jungle, nous ne savons pas quoi ou qui nous allons trouver. »

Puis voyant que ses camarades étaient plutôt frêles et peu protégés, il posa fermement sa main sur la garde de son épée et s’assura de l'accessibilité à son bouclier attaché dans son dos. Puis il ouvrit la marche sur le sentier, en scrutant le plus loin possible devant lui et sur les côtes du chemin.

Personne ne s'était épanché sur l'absence d'une des survivantes du groupe, y compris Adam. Tant qu'il ne se retrouvait pas seul, il allait pouvoir survivre sur cette île.
Elle était pas vilaine... dommage...

Lors de la nuit, il n'eut pas un doux sommeil. Les autres survivants aussi n'avaient probablement pas fait de joyeux rêves, mais en plus de revivre le traumatisme du naufrage, Adam revivait comme presque chaque nuit la rencontre qu'il eut environ un an plus tôt. Celui d'une affreuse entité lui causant autant de cauchemars que d'insomnies.

Lorsqu'il se réveilla, il étaient encore tôt. Adam fixa un instant le ciel. A travers la végétation, il pouvait voir les étoiles mourraient lentement, peu à peu étouffées par l'écrasante lumière du soleil. Le jeune homme aurait aimé que ce qui pique son âme depuis l'infinie disparaisse ainsi...

Il se leva d'aussi bonne humeur qu'au moment du couché et ne parla pas lors du petit déjeuner. Ses première paroles de la journée fut en retour des avertissements de Brand.
« Je ne suis pas un expert dans la survie... Je vous laisse volontiers passer devant et je prendrais exemple sur vous... »

Une nuit sans rêve. Fraîche. Étouffante. Menaçante.
Egile n'avait pas ressenti ce mal-être, cette angoisse persistante, depuis fort longtemps. La terre humide de la jungle avait tout simplement remplacé les pavés usés des rues...

Il se leva aux premières lueurs de l'aube à contrecœur, s'assurant tout d'abord qu'aucun insecte ou rampant n'avait profité pour gagner la chaleur relative de sa couchette. Un mouvement trop brusque, une morsure malheureuse, et tout pouvait précipitamment s'arrêter...

Il s'assura que "Blanche" avait rejoint le confort de sa poche avant de partager avec ses compagnons de route le frugal petit-déjeuner mis à sa disposition.

La suite de la journée allait être longue et éreintante...

Une fois que le groupe se décida à quitter leur campement de fortune, il se positionna à un mètre de Brand, se calant sur le rythme de ses pas.
S'aidant de son bâton pour avancer, il gardait un œil sur le sol qu'il foulait.

Roza se lève en étirant les muscles, puis saute de sa literie. « Ah, j'ai fort envie ... » Elle trotte plusieurs pas dans le sous-bois, ignorant les dangers possibles - plantes vénéneuses, araignées, plus de serpents - décolle son pantalon et pisse.

« Couvrez vos oreilles, je vous en prie, une fille a fort envie de faire pipi ! » Roza crie pour couvrir le son de ce qui ne pouvait être que quelqu'un piétine sur une outreA wine skin ... une peau de vin ?edit MJ: c'est correct ) pleine de vin.

Après le déluge, Roza retourne au camp. « J'ai fait un rêve étrange, bon sang ! J'étais une sirène, nageant autour de notre navire échoué, puis explorant le fond de la mer. C'était beau, si paisible ... mais je ne savais pas comment pisser. Mon corps sous ma taille, tout était une queue de poisson. J'ai demandé à un phoque, un dauphin, et une baleine comment ils pissaient, mais aucune d'eux ne pouvaient me comprendre. C'était frustrant pour tous, surtout moi car le besoin de faire pipi devenait plus fort. »

Elle soupire de soulagement, puis continue. « Je suis heureuse de me réveiller et de vous voir tous, au lieu de ces créatures marines.... je le jure ! »

Rangeant ses maigres possessions, Roza se prépare pour une journée de randonnée. Dans la jungle, elle subit une transformation curieuse : sa bouche se ferme et ses yeux s'écarquillent, comme pour absorber une expérience inconnue.